lundi 3 septembre 2012

Alain Soral

je ne sais même pas quoi dire, je vais illustrer par un tract
qui m'a été distribué à Rennes :
(cliquez pour agrandir !)

je découvre alors cette homme charmant qui propage la bonne parole :

« Contrairement  à  l’homme  dont  le  corps  plus  musculeux  l’oriente
naturellement vers l’action (la chasse et le travail manuel primitif), le corps de
la femme, constitué (en moyenne) de deux fois moins de muscle pour trois fois
plus de graisse (seins, fesses et ventre), est d’abord conçu pour attirer le mâle
dans le but de le pousser à la procréation... »
Alain Soral, La sociologie du dragueur, Editions Blanche 2000, p.155

« En dehors de la pure pathologie et de la pure violence (avec un
couteau, à six sur un parking), le danger et l’ambiguïté du viol tiennent d’abord
à la spécificité du désir féminin. Désir qui a tendance à avancer masqué et à se
mentir à lui-même »
Alain Soral, La sociologie du dragueur, Editions Blanche 2000



Heureusement certains arrivent à rire et à faire rire de ce type :